Pèlerinage des femmes et des mères de famille
Du 16 au 18 juin 2023 a lieu le pèlerinage des femmes et des mères de famille vers le Mont Saint Michel. Trois jours de ressourcement exceptionnels. Il reste quelques places : inscrivez-vous !
Depuis 2015, des mères de familles du diocèse de Pontoise ont décidé d’organiser un pèlerinage vers le Mont-Saint-Michel. Cette proposition de ressourcement est ouverte à toutes les femmes et à toutes les mères quels que soient leurs chemins de foi. C’est pour elles toutes une précieuse occasion de se ressourcer et de partager avec d’autres mères.
« Depuis que ce pèlerinage est proposé dans le diocèse, nous constatons beaucoup de fruits, se réjouit Tania, à l’origine de l’initiative avec quelques autres mamans. Certaines marchent pour se ressourcer, pour rendre grâce de tout ce qu’elles ont vécu de beau dans leur vie. D’autres viennent pour lâcher prise et s’en remettre au Seigneur. D’autres encore viennent par curiosité, se disent « non croyantes » ou « non pratiquantes » et reviennent chaque année pour comprendre ce mystère de la foi. Certaines enfin arrivent avec beaucoup de colère ou de détresse car elles vivent une situation familiale douloureuse à cause d’un divorce notamment… »
.
Au programme
De Granville au Mont-Saint-Michel
3 jours pour se ressourcer : du vendredi 16 au dimanche 18 juin 2023
Thème : « Fortifie-toi et prends courage » (Josué 1,6)
Prière, partage, échanges, silence… et marche (28 km le premier jour !)
Mai 2023
Pèlerinage des femmes
et des mères de famille
vers le Mont Saint Michel
du 16 au 18 juin 2023
Infos et inscription :
pelemsaintmichel@gmail.com
Tania : 06 80 20 73 34
Marie-Pascale : 06 80 17 86 56
Témoignage : « Ce pèlerinage
me rend « mère-veilleuse » » !
« J’ai déjà participé plusieurs fois à ce pèlerinage. Que de grâces reçues à chaque fois ! Chaque année, j’attends ce rendez-vous avec impatience.
C’est une formidable parenthèse dans nos vies bien chargées : on se laisse porter, on éteint son téléphone pendant trois jours (pas facile quand on laisse de jeunes enfants à la maison, il faut faire confiance…), on oublie la maison mais on prie beaucoup pour ceux qu’on y laisse et on marche aussi pour eux… On rencontre des personnes formidables, une sœur et un prêtre nous accompagnent, ce ne sont pas toujours les mêmes et nous avons d’heureuses surprises chaque année. On rit, on pleure, on prie bien sûr, on se découvre avec beaucoup d’humilité…
Je rentre à chaque fois, regonflée pour les douze mois à venir, car je suis convaincue que je suis une « mère-veilleuse »!
